Une petite virée dans Bellechasse en fin de semaine donne ces quelques images.
D'abord, un paysage. C'est ce qu'on a vu quand on s'est arrêtés pour observer et marcher un peu.
Ensuite, les amis avec lesquels j'étais : Simon et Lorraine.
Et voici quelques oiseaux qu'on a eu la chance de voir et que j'ai réussi à photographier.
Le premier : Durbec des sapins. Pas facile à photographier celui-là, car il se tenait toujours dans les hauteurs.
Une Sittelle à poitrine rousse.
Et le clou de la journée : une Mésange à tête brune. Habituellement, je monte à la forêt Montmorency pour les voir. Alors, j'étais bien contente de m'éviter un voyage là-haut!
La voici sur son départ. La photo n'est pas super, mais on la voit en action.
Jeudi, je suis retournée me promener et celui-ci a fait ma journée. Il était dans un champ sur la 132 à Beaumont. Voici ce que j'ai vu de loin. Vite, vite, je m'arrête. Clic, clic, clic jusqu'à ce qu'il parte et moi aussi chacun dans notre direction : lui vers le bois et moi vers Lévis.
Maintenant je vous le montre de plus proche, ce beau renard roux.
Il est aux aguets. Il est en chasse. On dirait qu'il a repéré une bestiole, mais je ne l'ai jamais vu avec quelque chose dans la gueule.
Je trouve qu'il a l'air triste sur cette photo.
Faut dire que cet animal est blessé. Vous voyez sa patte pliée. Elle est en permanence dans cette position. Quand il appuyait sa patte sur le sol, elle restait pliée.
Voilà pour aujourd'hui. À la prochaine.
samedi 23 janvier 2016
Une fin de semaine chargée
La fin de semaine du 9 et 10 janvier dernier m’a été des
plus profitables. Le samedi, c’était la sortie du COQ (club des ornithologues
de Québec) Rive-Sud de Québec, secteur ouest.
Quand on regardait le Harfang des neiges, voici pas que ce Canard colvert passe en vol :
C’est surprenant de regarder ces deux oiseaux en même temps : un oiseau d’hiver et un oiseau d’été. Par contre, comme les rivières ne sont pas gelées du tout, les canards ne sont pas pressés de partir.
Par la suite, on voit ce Merle d’Amérique perché sur un
fil. Il en est resté pas mal cette année. Habituellement, l’hiver, on en voit
par-ci par-là, mais en quantité très limitée. Cette année, j’en ai vu 17
ensemble à Beauport, lors d’une sortie.
Voici l’oiseau spécial dont je vous ai parlé à la fin du dernier message : une Perdrix choukar. Cet oiseau vient du Moyen-Orient et a été introduit par ici soit pour de l’élevage, soit pour la chasse (le livre ne le dit pas), mais il ne s’est jamais adapté. Donc, c’est un oiseau de captivité qui a dû se sauver. D’ailleurs, la première image le montre, on dirait qu’elle a froid. Elle semble recroquevillée, comme nous quand on gèle.
On dirait qu'il attend que le party arrive avec toutes ces chaises derrière lui. En tout cas, il est au bon endroit pour ça.
Et dimanche, un peu de repos, jusqu’au moment où mon ami Simon m’appelle pour me dire qu’il y avait un Épervier de Cooper dans sa cour en train de manger un Pigeon. Cœur sensible s’abstenir. Voici donc quelques photos prises sur le vif.
Pour poursuivre la fin de semaine, vive la retraite, tous les jours sont des jours de fin de semaine, je suis allée voir une rareté avec Renée. Une prime-coche pour elle et seulement ma deuxième observation à vie pour moi. Et j'ai nommé : le Solitaire de Townsend. Je vais vous le montrer sous plusieurs facettes.
Je vous présente les observations les plus marquantes de
cette sortie très prisée (nous étions 20 participants).
D’abord ce bel Harfang des neiges tout blanc pris en vol.
Puis, sur le chemin, j’aperçois une Pie-grièche, comme à son
habitude, perchée sur le bout d’une des branches les plus hautes d’un feuillu.
C’est pourquoi la photo n’est pas très bonne, mais on voit ses
caractéristiques : bandeau noir, longue queue, grise.
C’est surprenant de regarder ces deux oiseaux en même temps : un oiseau d’hiver et un oiseau d’été. Par contre, comme les rivières ne sont pas gelées du tout, les canards ne sont pas pressés de partir.
On continue notre chemin, on voit des Alouettes hausse-col
et des Plectrophanes des neiges dans un champ. On stationne dans une entrée
d’entreprise, car à 9 autos ce n’est pas évident ni
très prudent sur le bord du chemin. Voici l'Alouette qui se promène dans la rue. Elle n’est pas
peureuse, elle s’envole dès qu’une voiture arrive.
Voici l’oiseau spécial dont je vous ai parlé à la fin du dernier message : une Perdrix choukar. Cet oiseau vient du Moyen-Orient et a été introduit par ici soit pour de l’élevage, soit pour la chasse (le livre ne le dit pas), mais il ne s’est jamais adapté. Donc, c’est un oiseau de captivité qui a dû se sauver. D’ailleurs, la première image le montre, on dirait qu’elle a froid. Elle semble recroquevillée, comme nous quand on gèle.
Une autre surprise, que nous avons vue, est ce Grand Héron.
Il était debout sur la neige. Quand nous sommes sortis de la voiture, il s’est
envolé naturellement. Au retour, j’ai pu le prendre dans une pose différente.
On dirait qu'il attend que le party arrive avec toutes ces chaises derrière lui. En tout cas, il est au bon endroit pour ça.
Et dimanche, un peu de repos, jusqu’au moment où mon ami Simon m’appelle pour me dire qu’il y avait un Épervier de Cooper dans sa cour en train de manger un Pigeon. Cœur sensible s’abstenir. Voici donc quelques photos prises sur le vif.
Il est aux aguets. Il m’a certainement vue, mais comme je
suis assez loin, il ne bouge pas.
On voit bien son plumage, son œil, mais surtout son jabot.
La grosse bosse qu’il a dans le cou, c’est le Pigeon qu’il est en train de
manger. Il le gardera dans son jabot jusqu’au moment où il le digérera.
Impressionnant, n’est-ce pas?Pour poursuivre la fin de semaine, vive la retraite, tous les jours sont des jours de fin de semaine, je suis allée voir une rareté avec Renée. Une prime-coche pour elle et seulement ma deuxième observation à vie pour moi. Et j'ai nommé : le Solitaire de Townsend. Je vais vous le montrer sous plusieurs facettes.
D'abord de son profil droit.
Un peu ébouriffé par le vent. Car, cette journée-là, il ventait à écorner les boeufs
(canadianisme considéré comme vieilli, selon le Bureau de la traduction canadien). Pas grave, comme je suis vieille, je peux me permettre cette expression.
(canadianisme considéré comme vieilli, selon le Bureau de la traduction canadien). Pas grave, comme je suis vieille, je peux me permettre cette expression.
Bien installé sur une branche, il nous guette du coin de l'oeil pour savoir si on va aller manger le peu des fruits qu'il reste dans l'arbre. On les lui a tous les laissés. On est gentilles, n'est-ce pas?
Voilà pour cette belle fin de semaine.
À la prochaine
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