Il y avait une bonne migration de Cardinal à poitrine rose, dont voici
un membre qui s’est laissé photographier sans rechigner :
Déjà au début du mois de mai, les Cygnes tuberculés avaient eu leurs
petits. En voici un avec ses poussins.
Et gros plan sur la tête d’un d’autre :
Nous avons eu la chance de voir dormir un Engoulevent d’Amérique :
Et beaucoup plus tard, dans une autre région qui s’appelle la Gaspésie,
j’ai eu la chance d’en voir un réveillé. Le voici donc en chasse en fin
d’après-midi :
Les Gobemoucherons gris-bleu sont vus pratiquement à chaque jour :
Une espèce que je n’ai pas encore vue au Québec et qui ne fait que
passer quelques jours seulement par année dans mon coin de pays est la Grive à
joues grises dont voici un bel exemplaire :
Et celle-ci, on a eu la chance de pouvoir la photographier, Grive des
bois :
Tant qu’à être dans les grives, voici une Grive à dos olive vue également
en Ontario :
Et cette Grive fauve, un peu plus tard, a été observée au Marais
Provencher :
Les Grues du Canada nous passaient au-dessus de la tête, j’ai donc pu
les prendre en photo :
Ce Harle huppé femelle était à la pointe de Pointe-Pelée et est venue
très près de la rive, c’est pourquoi j’ai pu aussi bien la prendre en
photo :
Surprise, au parc de Presqu’Île, en Ontario, on a eu la chance de voir
deux Hirondelles à ailes hérissées. Je n’en ai pas revu au Québec :
Quand on regarde la prochaine photo, on se rend compte que les oiseaux
connaissent peut-être bien leurs couleurs. Ce Petit-duc maculé est allé
s’installer au seul endroit où il y avait des feuilles mortes de la même
couleur que lui. C’est fort, non!
À notre camping, à Wheatley National Park, on a trouvé un nid de Pic à
ventre roux. Je lui ai croqué le portrait au moment où il sortait :
Ce Piranga écarlate est venu juste devant nous pour nous montrer qu’il
était bien joli :
Oh, la, la, pas facile d’identifier cette Sterne de Forster en vol.
Elle a le bec plus orangé que celui de la Sterne pierregarin… une chance que je
prends des photos, c’est plus facile de confirmer de quelle espèce il
s’agit :
Toujours en Ontario, au parc de Presqu’Île, on voyait les Sternes caspiennes
faire des aller-retour pour chercher le souper :
Déjà au début du mois de mai, les Cygnes tuberculés avaient eu leurs
petits. En voici un avec ses poussins.
Et gros plan sur la tête d’un d’autre :
Nous avons eu la chance de voir dormir un Engoulevent d’Amérique :
Et beaucoup plus tard, dans une autre région qui s’appelle la Gaspésie,
j’ai eu la chance d’en voir un réveillé. Le voici donc en chasse en fin
d’après-midi :
Les Gobemoucherons gris-bleu sont vus pratiquement à chaque jour :
Une espèce que je n’ai pas encore vue au Québec et qui ne fait que
passer quelques jours seulement par année dans mon coin de pays est la Grive à
joues grises dont voici un bel exemplaire :
Et celle-ci, on a eu la chance de pouvoir la photographier, Grive des
bois :
Tant qu’à être dans les grives, voici une Grive à dos olive vue également
en Ontario :
Et cette Grive fauve, un peu plus tard, a été observée au Marais
Provencher :
Les Grues du Canada nous passaient au-dessus de la tête, j’ai donc pu
les prendre en photo :
Ce Harle huppé femelle était à la pointe de Pointe-Pelée et est venue
très près de la rive, c’est pourquoi j’ai pu aussi bien la prendre en
photo :
Surprise, au parc de Presqu’Île, en Ontario, on a eu la chance de voir
deux Hirondelles à ailes hérissées. Je n’en ai pas revu au Québec :
Quand on regarde la prochaine photo, on se rend compte que les oiseaux
connaissent peut-être bien leurs couleurs. Ce Petit-duc maculé est allé
s’installer au seul endroit où il y avait des feuilles mortes de la même
couleur que lui. C’est fort, non!
À notre camping, à Wheatley National Park, on a trouvé un nid de Pic à
ventre roux. Je lui ai croqué le portrait au moment où il sortait :
Ce Piranga écarlate est venu juste devant nous pour nous montrer qu’il
était bien joli :
Oh, la, la, pas facile d’identifier cette Sterne de Forster en vol.
Elle a le bec plus orangé que celui de la Sterne pierregarin… une chance que je
prends des photos, c’est plus facile de confirmer de quelle espèce il
s’agit :
On a eu la chance de voir un Viréo à gorge jaune :
Ainsi qu’un Viréo aux yeux blancs :
Au retour, un arrêt à l’Île St-Bernard, nous avons pu admirer une
résidente de l’endroit : Mésange bicolore :
Ce Raton-laveur n’était pas tellement peureux; il est passé tout près
du «chalet ambulant», c’est pourquoi je peux vous le présenter :
Je poursuis avec deux papillons vus en juillet, au marais de Cacouna.
Je vous dirais que c’est difficile de photographier des oiseaux, mais des
papillons c’est encore plus difficile. Voici un papillon qui s’appelle Bleu
argenté :
Et cet autre, Bleu porte-queue de l’Ouest, même s’il est vu à l’est du
pays :
Que dire de celui-ci : Polygone à taches vertes. Il porte bien son
nom avec la forme de ses ailes :
Revenons à nos moutons, ou plutôt à nos oiseaux. Le prochain a passé
quelques semaines pas trop loin de chez moi. Il est rare au Québec. J’ai nommé
le Canard siffleur :
Un oiseau que l’on ne regarde plus tellement il y en a, est le Carouge
à épaulettes. Celui-ci a du matériel dans le bec. On peut penser qu’il aide à
construire le nid :
Les prochains nichent au marais Provencher. Voici la femelle de
l’Oriole de Baltimore :
Et le mâle en vol :
Toujours au marais Provencher, niche également le Butor d’Amérique. Il
est venu se placer tout près pour faire sa toilette. J’ai donc pu le prendre en
photo pour vous le présenter
Voici un Bruant des marais :
Et un Bruant des prés :
J’ai eu la grande chance de pouvoir aller admirer un Eider à tête grise
et en prime de le photographier de tout près quand il est passé juste en face
du chalet de Anne. Quel oiseau spectaculaire :
Celle-là ne vient pas jusque chez nous. On doit aller la voir à Baie-du-Febvre,
car elle niche là-bas. C’est une Guifette noire qui passe en vol et que je vous
présente aujourd’hui :
Toujours à Baie-du-Febvre, c’est un bon endroit pour y observer les
Fuligules à tête rouge :
Et lui, il a oublié de partir quand la chaleur est arrivée. Il était
installé sur l’herbe tôt le matin à Baie-du-Febvre un 6 mai. J’ai nommé le
Harfang des neiges.
Le prochain canard est élégant, c’est un Canard chipeau :
Ces deux-là semblent en grande discussion. Ils marchaient devant moi,
ils étaient comiques à suivre. Couple de Canard colvert :
Les Hirondelles rustiques quand on les a vues étaient à construire leur
nid, c’est la raison pour laquelle elles venaient sur le bord du sentier
chercher de la boue :
C’est ma sœur Lucie qui a repéré le prochain oiseau. Il se confond avec
son environnement, elle a vraiment un bon œil. J’ai nommé la Maubèche des
champs :
Une autre sortie au marais Provencher où j’ai pu observer ces deux
oiseaux habituellement difficiles à voir. D’abord, le Râle de Virginie :
Et ensuite, la Marouette de Caroline :
Un oiseau que l’on voit couramment mais que j’affectionne bien, est le
Moqueur chat :
Et voici son cousin qui est plus rare : Moqueur polyglotte. Ce
dernier a été vu en Gaspésie :
Voici ce qu’au printemps la plupart des ornithologues attendent : les
parulines. Je vous les présente sans distinction des endroits où elles ont été
vues. Je vais commencer par les raretés que j’ai eu la chance d’observer à
Pointe-Pelée et ensuite, les «régulières» du Québec. D’abord la Paruline à
capuchon que voici :
Celle-ci, c’est la deuxième fois seulement que je l’observe. C’est une
très jolie paruline, c’est la Paruline azurée :
Une Paruline des prés s’est laissé, elle aussi, admirer par nous
tous :
Et, dernière rareté vue à Pointe-Pelée, une Paruline orangée :
Voici une Paruline à calotte noire :
Et celle à collier :
Une qui est omniprésente en migration est la Paruline à croupion jaune,
dont voici un mâle :
La Paruline à flancs marron ne donne pas sa place non plus dans les
jolies parulines :
La prochaine porte très bien son nom, Paruline à gorge noire :
La prochaine également, Paruline à gorge orangée :
La Paruline à poitrine baie ne fait que passer par chez nous pour aller
nicher un peu plus au nord :
Par contre, la Paruline à tête cendrée se rencontre facilement dans mon
coin de pays :
Voici une Paruline bleue femelle. Elle a la même caractéristique que le
mâle : un petit carré blanc dans l’aile :
Et le mâle de la Paruline bleue porte, quant à lui, superbement son
nom :
Habituellement, on l’entend, mais elle est difficile à voir. J’ai
réussi à photographier la Paruline couronnée pour pouvoir vous la montrer :
Une autre qui porte bien son nom. Elle se promène près de l’eau,
Paruline des ruisseaux :
Celle-ci, j’en suis bien contente, car c’est ma meilleure photo de
Paruline du Canada :
Une autre de nos belles parulines : Paruline flamboyante. Voici un
beau mâle :
Sans oublier notre petite Paruline jaune qui est omniprésente par
endroit :
J’aime bien l’arrière plan de cette photo, tout en douceur. Et la
vedette, Paruline masquée :
Une Paruline rayée qui a une tête de Mésange à tête noire, c’est ainsi
que je la reconnais rapidement : 
Voici un beau ti-couple : d’abord, la femelle prise dans un pommier en fleurs : Paruline tigrée femelle :
Et le mâle de la Paruline tigrée qui nous montre son beau profil :
Enfin, une belle photo d’une Paruline triste! C’est ma meilleure à
vie :
Avec Renée, lors d’une promenade près de chez nous, nous avons
rencontré ce Chevalier grivelé qui semblait bien énervé :
Nous ne comprenions pas pourquoi le Chevalier grivelé était aussi
énervé jusqu’au moment où nous avons vu ce petit bout de chou de
chevalier :
Voici une autre femelle avec ses petits : femelle Canard
colvert :
Et les mignons poussins Canard colvert :
Lors d’une promenade au Parc de la Martinière, j’ai observé non pas un
oiseau, mais cette couleuvre. Je trouvais qu’elle avait un drôle de
comportement. Elle ouvrait la gueule tout en se mouvant :
J’ai compris après en regardant mes photos. Elle mangeait des «boules»
rouges. Je vous la montre en plein action :
Un autre insecte insolite : Nécrophore au thorax décoré vu en
Gaspésie :
Et cette sauterelle ou plutôt ce criquet, dont j’ignore le nom. C’est
la première fois que je vois ce genre d'insecte rose. Si quelqu’un connaît son nom, je
pourrai le partager à tous. Mon amie Lorraine P. m'a dit que c'était un criquet tout simplement. Il est rose probablement à cause de ce qu'il a mangé. Merci Lorraine!
Un petit vison, au Paradis marin, est allé pêcher dans le fleuve. On
peut identifier sa proie, même si je ne connais pas le nom de ce poisson :
Enfin, la dernière photo de la pause oiseaux : un petit rorqual vu
au Paradis marin :
Un voyage avec Diane jusqu’à Havre-St-Pierre nous a fait voir de très
beaux spécimens d’oiseaux. En voici quelques-uns. D’abord, un Petit Pingouin
sur la terre ferme :
Et grâce à Hélène qui nous a donné le numéro du kilomètre où elle avait
vu une nichée de Plongeon catmarin, nous avons pu en voir un sur son nid :
Je suis tellement contente de mes photos que je vous en montre une
autre quand il est sur l’eau :
Puis, à Moisie, nous avons vu des Sternes arctiques :
Et énormément de Sternes pierregarin :
Nous ne pouvions pas aller sur la Basse Côte-Nord sans aller à l’île aux perroquets. Les voici donc
nos petits perroquets qui s’appellent chez nous : Macareux moine :
Celui-ci semble très pressé; Macareux moine au décollage :
À Rivière Godbout, j’ai trouvé cette Mouette pygmée. La photo n’est pas
des meilleures, mais comme elle n’est pas commune, je vous la montre quand
même. C'est la petite mouette qui a la tête noire :
On remonte un peu dans le temps, début juin. Une belle prime-coche qui
est venu chanter juste devant nous, Troglodyte à bec court :
Et voici son cousin, Troglodyte familier :
Et un autre cousin dont la photo a été prise en Ontario, Troglodyte des
marais :
Enfin, le dernier de la famille à vous être présenté aujourd’hui :
Troglodyte de Caroline vu à Pointe-Pelée.
Un Faucon émerillon est venu nous faire tout un spectacle au-dessus de
nos têtes quand j’étais en Gaspésie chez Diane.
Et ce Plongeon huard, très photogénique quand on a la chance de le
prendre de près :
Toujours impressionnant de voir la couleur du prochain oiseau :
Roselin pourpré mâle :
Un Tyran huppé sur le bord de la route :
Le prochain oiseau, j’ai rarement vu sa couronne rouge comme on le
voit sur la photo, Tyran tritri :
Le voici de face, il a un rappel de couleur au bout de la queue, blanc
comme son ventre, Tyran tritri :
Un Viréo aux yeux rouges où on voit son œil rouge sur la photo :
Je vous laisse sur ce beau sourire d’un phoque commun du parc du
Bic :
Au plaisir
