D’abord, un des grands oiseaux que j’ai pu observer se nomme
Ani des palétuviers. J’ai réussi à lui tirer le portrait. Je vous le présente ici :
Plusieurs Araçaris à collier venaient tôt le matin quasiment
à la porte notre chambre :
Ces oiseaux se cachent facilement dans les arbres malgré
leur bonne grosseur. Nous avons parfois de la difficulté à les voir; ce qui me
surprend toujours. J’ai nommé l’Ortalide à tête grise :
Le prochain semble bien excité, c’est un Batara rayé. Il
porte bien son nom avec toutes ces rayures :
Une prime-coche pour moi : Calliste gris :
De la même famille, un Tangara évêque, tout en nuances de
bleu :
Et celui-ci qui est venu spécialement pour se faire
photographier : Tangara émeraude :
Le prochain porte bien son nom : Tangara
flamboyant :
Toujours dans la famille des tangaras, en voici un autre qui
porte bien son nom : Tangara à dos rouge :
Le prochain a l’air terne à première vue, mais il est tout en
douceur dans les teintes verdâtres. J’ai nommé le Tangara des palmiers :
Celui-ci montre fièrement ce pourquoi il porte son
nom : Tangara à épaulettes blanches
La prochaine photo, c’est la meilleure que j’ai réussi de
l’oiseau; c’est pourquoi je vous la montre. Un Cassique à tête brune avec un
beau gros bec :
Et celui-ci, un Cassique à cul-jaune. Il porte aussi très
bien son nom :
On a eu la chance qu’une personne nous montre un nid d’Ariane
à ventre gris. C’est un oiseau dans la famille des colibris, donc tout
petit :
Le Colibri jacobin est un peu plus gros :
Un autre dans la même famille : Mango à cravate noire.
Ici, c’est la femelle qui nous montre très bien pourquoi elle se nomme ainsi :
Cette fois-ci, c’est moi-même qui ai trouvé le nid. La
voici, femelle de Mango à cravate noire qui couve ses œufs :
Je vous présente également le mâle du Mango à cravate
noire :
Malgré la médiocrité de la photo, on peut bien identifier le
Colibri julie, une prime-coche pour moi :
Oups, on change de catégorie complètement. Voici un oiseau
qui sait se faire très très discret. On dirait une branche. C’est un oiseau de
nuit qui se camoufle superbement dans le jour. En plus, il a un nom à coucher
dehors : Grand Ibijau :
Et son petit frère : Ibijau gris :
Le prochain est passé en vol juste au-dessus de nous. J’ai
réussi à lui tirer le portrait. Et oh surprise!, c’était une prime-coche. J’ai
nommé le Bec-en-croc de Cayenne :
Et celui-ci, on le voyait beaucoup plus régulièrement. C’est
un Caracara à tête jaune :
Quelle surprise j’ai eue dès mon réveil le premier matin du
voyage en apercevant de notre balcon cet Urubu à tête jaune considéré comme espèce
rare au Panama et naturellement prime-coche pour moi. Il était loin et la photo
n’est pas très bonne, mais je vous le présente quand même :
Celui-là était loin d’être considéré comme rare. Il se
promenait sur le terrain de l’hôtel sans être trop craintif. J’ai nommé l’Urubu
noir :
Malheureusement, la prochaine photo ne rend pas justice à
l’oiseau. Une autre prime-coche avec un Dacnis bleu femelle. Elle est vraiment
très jolie, surtout dans la lumière :
Et celui-là aussi est une prime-coche, photographié de très
très loin : Cotinga bleu. On voit ses caractéristiques qui confirment
l’espèce :
Cette Hirondelle à gorge rousse est une autre prime-coche du
voyage :
Et que dire de la Colombe rousse bien installée pour
faciliter la tâche de la photographe :
J’ai eu plusieurs primes-coches dans ce voyage, en voici une
autre, Jacana noir :
Les martinets sont très difficiles à prendre en photo, car
ils ne se posent jamais. Voici un Martinet de Cayenne, facilement identifiable
comparativement aux autres. Il a du blanc et surtout la queue fourchue :
Et celui-ci est un Martinet polioure :
Le prochain oiseau, je l’avais vu au Costa Rica, mais dans
de très mauvaises conditions. Ici, j’ai même réussi à le photographier. C’est
un Grand Tinamou :
Une autre prime-coche : Onoré rayé. D’abord un adulte
bien camouflé dans les herbes :
Et un jeune, sur le terrain de l’hôtel :
En voici un qui fait tout pour plaire : Quiscale à
longue queue en parade nuptiale :
Un autre oiseau qui porte bien son nom : Sporophile
variable. Ici, on a un individu mâle plus coloré qu’à l’habitude :
Je suis très contente de la prochaine photo. Je n’avais pas
réussi à bien le photographier au Costa Rica, ici j’ai eu plus de chance. J’ai
nommé le Toucan à carène :
Et celui-ci est le Toucan tocard de Swainson :
On change de gabarit et de famille. Nous voici dans la
grande famille des tyranidés. Le premier de la série, on le voyait
régulièrement sur le même arbre que les Araçaris à collier, près de notre
chambre. C’est le Tyran audacieux :
Et celui-ci un Tyran de Cayenne, sa couronne blanche est
incomplète :
Un Tyran du Panama s’est laissé photographier :
Et le Tyran licteur, lui, a sa couronne blanche complète :
Ce Tyran mélancolique est peut-être le même qui est venu se
balader en Gaspésie, ou c’est un lointain cousin :
Celui-ci est une Tyran olivâtre :
Celui-ci est un peu plus petit, c’est le Tyran pirate :
Et le plus gros de sa catégorie qui porte très bien son nom,
car il le crie : Tyran quiquivi :
Le Tyranneau des palétuviers est plus terne :
Une chance que j’ai peu le prendre en photo celui-là, car je
n’aurais pas réussi à l’identifier. C’est un Tyranneau gobemoucheron :
La même chose pour le prochain oiseau; difficile à
identifier sur le terrain. C’est un Platyrhynque à miroir. En plus, il a un nom
à coucher dehors :
J’avais mal identifié cet oiseau. Le correcteur d’eBird (là
où j’entre mes listes d’oiseaux) a pu me corriger et je vous présente l’Élénie
à ventre jaune :
Un Moucherolle rougequeue a pu être identifié grâce à cette
photo :
Une autre prime-coche pour le Panama : Organiste à bec
épais :
Et le prochain, on comprend d’où lui vient son nom;
Organiste cul-roux :
Un oiseau que j’avais vu au Costa Rica et que j’ai eu
plaisir à revoir au Panama est le Piaye écureuil :
L’Oriole noir et or porte très bien son nom, lui
aussi :
Le prochain est commun puisque que nous en avons vu à tous les
jours; Pic à couronne rouge. Ici, je vous présente le mâle :
Un pic du même gabarit que notre Grand Pic s’est laissé
admirer. J’ai nommé le Pic de Malherbe :
J’avais vu cet oiseau au Costa Rica, mais je n’avais pas de
bonnes photos. Celui-ci était tout près et il ne s’occupait pas de nous, alors
voici le Pic cannelle au travail :
Et juste à côté, des gens venaient chercher leur eau. Cette
fille est arrivée sur son canoë qui m’a bien impressionnée. Une embarcation
datant des premiers habitants du Panama fait dans un tronc d’arbre, conduite
par une jolie fille qui a pris bien soin de mettre ses écouteurs avant de
repartir, question d’écouter sa musique tout en pagayant. Une belle démonstration entre l'archaïque et le moderne :
Voici une Talève violacée qui pensait être bien cachée :
La prochaine photo n’est pas des meilleures, mais elle
montre un tout petit oiseau appelé Manakin à col d’or; pas facile à
photographier à travers les feuilles :
Le prochain oiseau n’est pas très beau, mais je n’avais pas
réussi à bien lui tirer le portrait au Costa Rica. Ici, au Panama, j’ai eu
cette chance. C’est un Savacou huppé :
Un autre dont je n’avais pas de bonnes photos. Le Tytire
masqué était à la porte notre chambre d’hôtel, alors j’en ai réussi plusieurs,
cette fois-ci :
Un petit oiseau dont on a trouvé le nid : le
Trodirostre familier :
Cet oiseau a été vu sur le site de l’hôtel et c’est une
prime-coche pour moi. J’ai nommé le Troglodyte à face pâle :
Cet oiseau m’a fait toute une surprise lorsque je l’ai
croisé sur la route : Motmot caraïbe :
Et le Trogon de Masséna est venu faire une petite pause dans
l’arbre juste au-dessus d’un ruisselet :
Un autre de la même famille : Trogon de Sclater
Celui-ci, on l’avait pris pour un Viréo aux yeux rouges,
mais en fait, c’est un Viréo jaune-verdâtre. Tant mieux, c’est une prime-coche
pour nous :
Enfin, le dernier de la série : Viréon à front d’or :
Je termine avec deux mammifères. Le premier est un Agouti
cendré vu sur le site de l’hôtel en s’en allant à notre chambre :
Et enfin, le Coati :
La prochaine fois, je vous reviens avec d'autres oiseaux d'ici et d'ailleurs...
À bientôt.