mercredi 22 avril 2020

Coups de cœur 2019


Je vous justifie le pourquoi du choix des photos pour chacune d’elle. Je commence par les voyages au Mexique indépendamment du moment où j’y suis allée, soit en janvier et en avril.
Le premier oiseau est une Bécarde à gorge rose. J’en avais déjà vue, mais jamais comme celle-là qui porte vraiment bien son nom : Cette photo a été choisie pour la qualité de la photo : Buse grise juvénile :
Celle-ci parce que c’est toujours difficile de prendre des oiseaux en vol, encore plus des colibris : Colibri de Constant :
Parce que je n’aurais jamais cru en voir dans ce voyage : Fou à pieds bleus :
Et celle-ci, parce que c’est la meilleure observation du Fou brun que j’ai faite :
Le prochain parce qu’il est endémique au Mexique : Geai de San Blas :
Celui-ci pour la qualité de la photo sur laquelle on voit bien les critères identifiant l’oiseau et que je le trouve beau : Goéland de Heermann :
Parce que cet oiseau m’a surprise par ses couleurs et surtout que je n’aurais jamais pensé pouvoir le voir et encore moins le photographier : Granatelle multicolore :
Parce que c’est toujours agréable de faire la rencontre avec un motmot : Motmot à tête rousse :
Parce que j’aime bien les orioles : Oriole cul-noir :
Parce que j’aime beaucoup les pics aussi et que celui-ci porte très bien son nom : Pic élégant :
Cette photo est la meilleure que j’ai de cette espèce : Saltator gris :
Et la dernière du Mexique même si la qualité laisse à désirer, mais parce ce que c’est moi qui ai trouvé l'oiseau et que c’est une espèce que j’espérais voir : Viréo à tête noire :
Je passe maintenant aux photos prises au Québec.
La première, parce que c’est touchant de rencontrer ce petit hibou : Petit-duc maculé de forme rousse :
Ma meilleure photo de la Bécasse d’Amérique au Québec :
Meilleure photo du Bécasseau violet prise à Rimouski en mai :
Et que dire de ce Bruant des plaines (espèce considérée comme rare au Québec) avec le nouvel super objectif :
Pour la qualité de la photo de ce Guillemot marmette prise lors d’une excursion sur le fleuve au printemps :
Parce que cette paruline était une prime-coche : Paruline à gorge grise au Lac-St-Jean :
Pour la qualité de la photo : Érismature rousse mâle à Baie-du-Febvre :
Et celle-ci pour bien voir les détails de son bec : Macareux moine :
Ici aussi pour la qualité de la photo : Pluvier semipalmé à St-Vallier :
Et ce Busard des marais qui est venu tout près de nous, toujours à St-Vallier :
La prochaine parce que je n’en reviens pas encore d’avoir pris cette belle photo sans même savoir que c’était un oiseau très rare : Goéland cendré :
Et cette Sterne hansel que j’avais vue au Sénégal, mais qui est venue encore plus près pour que je puisse faire une meilleure photo à Kamouraska :
Les deux prochaines parce qu’après les oiseaux, les baleines sont également une passion. Les photos ont été prises à Sept-Îles lors d’une excursion et ce sont mes meilleures photos de baleines.
La première dont je ne sais pas encore l’identité, mais qu’éventuellement je pense bien finir par connaître son nom :
Et celle-ci parce qu’on voit souvent ce genre de photo avec l’eau qui coule sur la queue. Cette baleine se nomme Lazy Su :
Enfin, la dernière du Québec. Je la mets à cause non pas de sa qualité, car la scène était pas mal loin, mais de l’extraordinaire observation. Une baleine bleue avec des kayakistes autour, je n’aurais jamais pensé pourvoir mettre mon appareil photo sur ce phénomène :
Maintenant, je passe au voyage en Équateur en octobre à l’occasion de mon 65e anniversaire.
Mon intérêt pour l’histoire n’est jamais loin quand je voyage. Voici une très mauvaise photo prise avec le cellulaire à partir du véhicule qui me ramène à Quito après mon séjour ornithologique. C’est le monument qui est au milieu du monde, c’est-à-dire sur la ligne qui sépare l’Hémisphère nord de l’Hémisphère sud.
Le premier oiseau a été vu à l’hôtel où je logeais. On dirait qu’il a de la fourrure plutôt que des plumes. Cabézon toucan :
La prochaine a été choisie parce que mon guide n’avait jamais vu un Grimpar montagnard manger un lézard, comme le montre la photo :
Toujours impressionnant de rencontrer un strigidé : Petit-duc à gorge blanche :
Celle-ci parce qu’on voit le comportement de l’oiseau pour lequel il porte son nom : Percefleur à flancs blancs, il est en train de percer une fleur pour boire le nectar :
La prochaine, parce qu’elle porte bien son nom aussi et que j’ai réussi une photo acceptable de ce genre d’oiseaux qui bougent tout le temps : Paruline à lunettes :
Cet oiseau a été choisi parce que c’est ma meilleure photo de Paruline des bambous :
Pour la prochaine, même si la photo n’est pas très bonne, je vous la présente, car c’est le seul colibri de son espèce que j’ai vu. Colibri de Bouguer :
Et celui-ci, pour ses couleurs iridescentes, Colibri de Jardine :
Pour la photo que j’aime bien de ce Colibri à ailes saphir :
La prochaine pour la qualité de la photo, Tangara à ventre rouge :
Nous voilà rendu au Chili, dernier voyage de l’année 2019. Je vous présente le Volcan Parinacota qui se trouve à la frontière de la Bolivie.
Un des oiseaux que j’espérais voir était le Bécasseau du ressac, je vous le présente donc. Il était sur les rochers à notre hôtel à Arica :
Une des belles buses que nous avons vues : Buse tricolore :
Et ce Faucon aplomado que j’ai manqué au Texas et que j’espérais bien voir au Chili :
Le prochain oiseau fait partie de la grande grande famille des oiseaux bruns à longue queue qui se ressemblent énormément. Celui-ci est un Cinclode à ailes blanches. Il a été choisi parce qu’on voit très bien le pourquoi de son nom :
Au Chili, ils ont de très beaux canards, espèce que j’apprécie particulièrement. Celui-ci est la Sarcelle de la puna :
Et ceux-là, j’espérais les voir en Équateur et je les ai manqués. Alors je vous présente un couple de Merganette des torrents. Je préfère (ce qui est très rare) son nom anglais : Torrent Duck :
Et cet Océanite de Markham que nous avons sauvé de la noyage. Il est dans les mains de notre super guide Edouardo Navarro :
Et ce Puffin à menton blanc sur lequel on voit bien le menton :
Un Albatros de Buller, lors de notre sortie aux oiseaux pélagiques (ceux qui restent en mer tout le temps, sauf lors de la nidification) :
Et la dernière et non la moindre, mon coup de cœur du voyage au Chili, Sterne inca :
Voilà qui termine mes coups de cœur pour l'année 2019.

À la prochaine.